Quatre heures de blackout total : dans l’univers crypto, c’est une éternité. Starknet, présenté comme l’un des Layer 2 les plus solides d’Ethereum, s’est retrouvé complètement figé après son upgrade Grinta. Plus rien ne passait : ni transactions, ni smart contracts. Un silence radio qui a pris de court les utilisateurs et déclenché un flot de doutes sur la fiabilité des L2. L’équipe a réagi vite, le réseau est reparti et les explications ont suivi. Mais le malaise reste là : si un acteur aussi en vue peut s’arrêter net pendant des heures, jusqu’où peut-on vraiment faire confiance à ces solutions censées porter l’avenir d’Ethereum ?
Un bug technique au cœur de la panne
L’upgrade Grinta devait rendre Starknet plus solide et plus rapide. Au lieu de ça, un bug de synchronisation des nœuds a tout bloqué. Plus aucune transaction, plus aucun mouvement, une blockchain figée pendant des heures. L’incident est derrière nous, mais il rappelle à quel point chaque mise à jour majeure peut être un pari risqué.
On gagne en performance, mais la moindre faille peut tout faire planter. Ce blackout est évidemment dur pour les utilisateurs. Pour l’équipe, c’était un crash-test grandeur nature qu’elle a su gérer avec réactivité en corrigeant et en relançant le réseau sans tarder.
Un coup de frein pour la confiance des utilisateurs
Au-delà du bug, c’est la confiance qui est mise à l’épreuve. Les Layer 2 comme Starknet sont présentés comme la clé de voûte de l’avenir d’Ethereum. Mais quand une panne de quatre heures survient, c’est toute l’image de fiabilité qui vacille.
Sur les réseaux, la communauté a exprimé à la fois frustration et inquiétude. Certains investisseurs craignent que ces interruptions renforcent l’i
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Author: Guillaume Valageas